Elisabeth confirme à Guilhem qu’elle a fait sa déposition pour confirmer son alibi. Guilhem s’en veut d’avoir paniqué, mais elle trouve que son chantage est horrible. Elle lui affirme qu’il a perdu sa confiance et elle se fout de ses excuses.
Yann fait un point auprès de Becker. Sylvie n’avait pas d’ennemis, et Marion semblait nerveuse durant l’interrogatoire.
Le patron du journal voudrait que Marc présente des excuses à Alix pour éviter qu’il ne lui vienne l’idée d’attaquer Midi Libre.
Alix fait les présentations entre Hélène et Brénas. Ce dernier se questionne sur le nombre de maîtresses qu’a pu avoir son père et ainsi, des œuvres lui appartenant.
Alix suggère à Marc de rédiger des articles élogieux au sujet de ses prochaines expos.
Marion finit par reconnaître aux enquêteurs qu’elle était contre cette union. Elle avait peur que sa tante soit manipulée. Sylvie n’a pas apprécié les doutes qu’elle avait à l’encontre de Guilhem.
Par la suite, Marion avoue à Bertier qu’elle est certaine des soupçons de la police à son encontre. De plus, elle n’a aucun alibi.
Becker pense que quelque chose est loupé au sujet de l’affaire d’Alix et Brénas. Ça l’agace qu’Alix passe encore à travers leur maille.
Hélène informe Victor de sa démission de l’hôpital, car elle ne s’épanouit pas dans ce service. Elle ne trouve pas ses repères et n’a pas sa place.
Alix fête la bonne nouvelle dans un atelier où l’on ne voit pas l’autre personne avec qui elle se trouve. Peut-être s’agit-il d’Ulysse ?
Johanna passe trop de temps à travailler, comme Yann qui s’est mis à fond dans le boulot depuis le décès d’Alexandra.
En rentrant, Alain parle de Guilhem à Elisabeth qui préfère stopper la discussion au risque de lui gâcher la soirée. Elisabeth avoue à Alain le chantage de Guilhem.